J’ai envie de proximité, que les gens se sentent en confiance. Et pour nouer ces liens, il faut commencer par se faire connaître.
François Leliépault
ÉTAPE 1 : APPELER DYAPASON
François n’a pas choisi Vire par hasard : la Basse-Normandie est sa région d’origine, et sa famille y vit toujours. Malgré ces attaches profondes, il lui faut tout reconstituer : patientèle, contacts professionnels... François a besoin d’aide. “Je connaissais bien Dyapason, dont le laboratoire Le Her est aussi adhérent”. Vincent Génot et Philippe Delbort l’ont aidé à structurer son projet, établir l’étude d’implantation, mais côté communication, tout reste à faire. Vincent Génot lui propose alors les services de l’agence FBSD, partenaire du réseau. Le chantier commence par une étape de diagnostic : qui est François ? Qu’est-ce qui l’anime ? Pourquoi s’installe-t-il à Vire ? Quelle est son offre ?
ÉTAPE 2 : IMAGINER SON PLAN DE COMMUNICATION
La phase de découverte implique un atelier d’échange entre Dyapason, l’agence et François, puis une analyse du paysage local de l’audioprothésiste : son marché, ses concurrents, son public. Cette étape stratégique permet d’imaginer un plan de communication qui ressemble à l’audioprothésiste, et qui parle à ses cibles. Pour François, créer son propre laboratoire, c’est l’opportunité de faire les choses à sa façon, et de proposer un lieu qui lui corresponde : il doit en être de même pour sa communication. L’audioprothésiste s’implique personnellement dans la création de son identité visuelle, de ses supports web et définit ses cibles, ses objectifs, son plan de communication globale.
ÉTAPE 3 : COMMUNIQUER, POUR CRÉER DES LIENS
Pour se signaler dans la ville, s’inscrire dans les habitudes des Virois, Vincent Génot propose à François de communiquer à travers les outils locaux. François Leliépault veut s’inscrire sur le long terme, sans se précipiter. Depuis l’ouverture du laboratoire, il donne régulièrement de ses nouvelles dans la presse locale, à travers une série de publireportages. Pour constituer sa patientèle, François mise sur le conseil et une approche de proximité : il s’adresse directement aux gens au moyen d’annonces radio, signale son activité sur les réseaux sociaux ou par l’affichage en ville. “Mon idée, c’est de donner aux gens l’envie de venir, tout en leur proposant de vraies informations sur l’audition”. L’enjeu de la communication de François est de faire connaître ce qui l’anime : proposer une offre performante, compétitive et chaleureuse à Vire. Créer son laboratoire, tout en changeant de région : malgré son expérience, François Leliépault a choisi de repartir de zéro. Grâce aux solutions de Dyapason, il a pu construire des liens, et se concentrer sur son métier : accueillir et conseiller les patients en difficulté.
Dyapason : Comment communiquer sur son installation dans une nouvelle ville ?
François Leliépault a décidé de s’installer en tant qu’indépendant à Vire, après cinq années passées au sein du laboratoire Le Her de Rouen. Le réseau Dyapason l’a aidé à communiquer autour de son implantation dans cette nouvelle localité.
ÉTAPE 1 : APPELER DYAPASON
François n’a pas choisi Vire par hasard : la Basse-Normandie est sa région d’origine, et sa famille y vit toujours. Malgré ces attaches profondes, il lui faut tout reconstituer : patientèle, contacts professionnels... François a besoin d’aide. “Je connaissais bien Dyapason, dont le laboratoire Le Her est aussi adhérent”. Vincent Génot et Philippe Delbort l’ont aidé à structurer son projet, établir l’étude d’implantation, mais côté communication, tout reste à faire. Vincent Génot lui propose alors les services de l’agence FBSD, partenaire du réseau. Le chantier commence par une étape de diagnostic : qui est François ? Qu’est-ce qui l’anime ? Pourquoi s’installe-t-il à Vire ? Quelle est son offre ?
ÉTAPE 2 : IMAGINER SON PLAN DE COMMUNICATION
La phase de découverte implique un atelier d’échange entre Dyapason, l’agence et François, puis une analyse du paysage local de l’audioprothésiste : son marché, ses concurrents, son public. Cette étape stratégique permet d’imaginer un plan de communication qui ressemble à l’audioprothésiste, et qui parle à ses cibles. Pour François, créer son propre laboratoire, c’est l’opportunité de faire les choses à sa façon, et de proposer un lieu qui lui corresponde : il doit en être de même pour sa communication. L’audioprothésiste s’implique personnellement dans la création de son identité visuelle, de ses supports web et définit ses cibles, ses objectifs, son plan de communication globale.
ÉTAPE 3 : COMMUNIQUER, POUR CRÉER DES LIENS
Pour se signaler dans la ville, s’inscrire dans les habitudes des Virois, Vincent Génot propose à François de communiquer à travers les outils locaux. François Leliépault veut s’inscrire sur le long terme, sans se précipiter. Depuis l’ouverture du laboratoire, il donne régulièrement de ses nouvelles dans la presse locale, à travers une série de publireportages. Pour constituer sa patientèle, François mise sur le conseil et une approche de proximité : il s’adresse directement aux gens au moyen d’annonces radio, signale son activité sur les réseaux sociaux ou par l’affichage en ville. “Mon idée, c’est de donner aux gens l’envie de venir, tout en leur proposant de vraies informations sur l’audition”. L’enjeu de la communication de François est de faire connaître ce qui l’anime : proposer une offre performante, compétitive et chaleureuse à Vire. Créer son laboratoire, tout en changeant de région : malgré son expérience, François Leliépault a choisi de repartir de zéro. Grâce aux solutions de Dyapason, il a pu construire des liens, et se concentrer sur son métier : accueillir et conseiller les patients en difficulté.