« Depuis vingt-deux ans que j’exerce, j’ai pas mal bourlingué », confie Xavier Delerce. Si son chemin professionnel l’a conduit de France en Suisse, du Nord au Sud, il ne s’est jamais éloigné de l’indépendance. « Je viens d’une famille de kinésithérapeutes », explique-t-il. « Mon père et mon grand-père m’ont inculqué l’importance de la liberté, de l’autonomie dans l’exercice de son métier, mais aussi l’engagement que ça représente. »
Étape 1 : être indépendant, être autonome
En 2019, Xavier Delerce s’associe avec deux audioprothésistes pour créer le laboratoire Cochléa à Aire sur l’Adour, dans une région qu’il connaît bien. Cochléa propose une prise en charge exigeante et chaleureuse : « On habite dans la zone où on travaille, une région rurale où l’offre de soins est assez rare, c’est important pour les patients ici, ce rapport de proximité, les gens nous identifient ». Plus jeunes que Xavier, spécialisées dans la psychologie et la pédiatrie, les associées permettent « une offre très complémentaire, un environnement stimulant ». Cochléa s’engage pour une prise en charge optimale, et possède notamment son propre atelier de fabrication et de réparation. « La technologie nous permet de modéliser et d’imprimer nos embouts, c’est une autonomie qui a été précieuse pour les patients durant la pandémie. Nous souhaitons avoir une maîtrise la plus complète possible de notre métier ».
Étape 2 : s'entourer, sans s'oublier
Lorsque les associés envisagent de rejoindre un réseau, cette autonomie n’est pas négociable. « Dans ce rapport de proximité, je voulais pouvoir continuer à communiquer comme je l’entends, sur mes propres supports, sans discours formaté ». Les associés choisissent le réseau Dyapason, qui leur permet de « travailler comme on en a envie, sans être limités par une enseigne ou une charte stricte ». Garder sa liberté, tout en étant accompagné au quotidien de l’activité : Xavier prend l’exemple des certifications AFNOR, délicates à décrocher lorsque l’on évolue seul. « Avec des confrères de la région, nous avions créé un GIE pour obtenir la certification NF Audioprothésiste. Nous y sommes parvenus mais la démarche est chronophage et coûteuse ». Avec Dyapason, l’obtention de la certification NF ou ISO 9001 est facilitée, moins longue et surtout beaucoup moins chère. « C’est l’avantage, quand on a un réseau national pour nous soutenir ».
Étape 3 : dialoguer, collaborer, évoluer
Si Xavier Delerce et ses associées ont choisi Dyapason, c’est d’abord pour la réputation du réseau. « Beaucoup des confrères de la région avec qui j’échange faisaient partie du réseau », précise Xavier. « On a la même approche du métier, on discute, on travaille ensemble, c’est stimulant ». Quand on évolue en indépendant, renouveler sa passion, rester stimulé par le métier est parfois un défi. « Faire partie d’un réseau permet de se challenger, d’échanger régulièrement avec des gens qui ont des valeurs communes, de progresser et de ne pas être seul face aux évolutions de la profession ». Grâce au réseau et à ses associées, Xavier peut mener de front vie personnelle et professionnelle, sans sacrifier son indépendance : « mon équilibre, je le trouve au contact du patient, mais aussi dans la pratique du sport, de l’écriture, la formation, la recherche autour du métier, ce que Cochléa et Dyapason permettent ».
Pour garder leur indépendance sans pour autant évoluer seuls, Xavier Delerce et ses associées ont choisi de rejoindre Dyapason. L’appui du réseau et les échanges qui y ont lieu leur permettent d’évoluer sereinement, d’un point de vue personnel comme professionnel.
Dyapason : Comment conserver son indépendance quand on rejoint un réseau ?
Audioprothésiste, formateur, blogueur : Xavier Delerce est bien connu du monde de l’audition. Membre du Collège d’Audioprothèse, formateur à l’école de Bordeaux et indépendant depuis toujours, il a rejoint Dyapason il y a deux ans.
« Depuis vingt-deux ans que j’exerce, j’ai pas mal bourlingué », confie Xavier Delerce. Si son chemin professionnel l’a conduit de France en Suisse, du Nord au Sud, il ne s’est jamais éloigné de l’indépendance. « Je viens d’une famille de kinésithérapeutes », explique-t-il. « Mon père et mon grand-père m’ont inculqué l’importance de la liberté, de l’autonomie dans l’exercice de son métier, mais aussi l’engagement que ça représente. »
Étape 1 : être indépendant, être autonome
En 2019, Xavier Delerce s’associe avec deux audioprothésistes pour créer le laboratoire Cochléa à Aire sur l’Adour, dans une région qu’il connaît bien. Cochléa propose une prise en charge exigeante et chaleureuse : « On habite dans la zone où on travaille, une région rurale où l’offre de soins est assez rare, c’est important pour les patients ici, ce rapport de proximité, les gens nous identifient ». Plus jeunes que Xavier, spécialisées dans la psychologie et la pédiatrie, les associées permettent « une offre très complémentaire, un environnement stimulant ». Cochléa s’engage pour une prise en charge optimale, et possède notamment son propre atelier de fabrication et de réparation. « La technologie nous permet de modéliser et d’imprimer nos embouts, c’est une autonomie qui a été précieuse pour les patients durant la pandémie. Nous souhaitons avoir une maîtrise la plus complète possible de notre métier ».
Étape 2 : s'entourer, sans s'oublier
Lorsque les associés envisagent de rejoindre un réseau, cette autonomie n’est pas négociable. « Dans ce rapport de proximité, je voulais pouvoir continuer à communiquer comme je l’entends, sur mes propres supports, sans discours formaté ». Les associés choisissent le réseau Dyapason, qui leur permet de « travailler comme on en a envie, sans être limités par une enseigne ou une charte stricte ». Garder sa liberté, tout en étant accompagné au quotidien de l’activité : Xavier prend l’exemple des certifications AFNOR, délicates à décrocher lorsque l’on évolue seul. « Avec des confrères de la région, nous avions créé un GIE pour obtenir la certification NF Audioprothésiste. Nous y sommes parvenus mais la démarche est chronophage et coûteuse ». Avec Dyapason, l’obtention de la certification NF ou ISO 9001 est facilitée, moins longue et surtout beaucoup moins chère. « C’est l’avantage, quand on a un réseau national pour nous soutenir ».
Étape 3 : dialoguer, collaborer, évoluer
Si Xavier Delerce et ses associées ont choisi Dyapason, c’est d’abord pour la réputation du réseau. « Beaucoup des confrères de la région avec qui j’échange faisaient partie du réseau », précise Xavier. « On a la même approche du métier, on discute, on travaille ensemble, c’est stimulant ». Quand on évolue en indépendant, renouveler sa passion, rester stimulé par le métier est parfois un défi. « Faire partie d’un réseau permet de se challenger, d’échanger régulièrement avec des gens qui ont des valeurs communes, de progresser et de ne pas être seul face aux évolutions de la profession ». Grâce au réseau et à ses associées, Xavier peut mener de front vie personnelle et professionnelle, sans sacrifier son indépendance : « mon équilibre, je le trouve au contact du patient, mais aussi dans la pratique du sport, de l’écriture, la formation, la recherche autour du métier, ce que Cochléa et Dyapason permettent ».
Pour garder leur indépendance sans pour autant évoluer seuls, Xavier Delerce et ses associées ont choisi de rejoindre Dyapason. L’appui du réseau et les échanges qui y ont lieu leur permettent d’évoluer sereinement, d’un point de vue personnel comme professionnel.