Teodora-ART-AdobeStock-7217.jpg)
L’adjectif qui me caractérise
Empathique
Une passion coupable
Le golf. J’ai découvert ce sport il y a 2 ans, et comme tous les nouveaux pratiquants, je ne pense plus qu’à ça ! Ça m’aide à être plus rigoureux et moins dispersé, à gérer mon focus, mon énergie et mes émotions. En plus de ça, passer quelques heures à marcher dans des bois ou au bord de lacs, c’est un bonheur !
Si je pouvais téléporter mon centre dans une autre ville, ce serait où ?
À Punta Cana ! Soyons fous !
La réforme ou l’évolution que j’attends le plus dans la filière ?
La création d'un Ordre des audioprothésistes pour réguler tout le bazar actuel et des contrôles pour stopper la fraude.
Une lecture inspirante
Audiologie Demain 😉
Le principal défaut d'un patient
Son impatience. Les adaptations les plus compliquées sont celles qui concernent des patients attendant un résultat « magique » dès le premier rendez-vous, et qui ne sont pas prêts à apprendre à vivre avec les prothèses. Or, il est indispensable de laisser le temps à son cerveau de s’habituer aux réglages.
Le métier d'audio en un mot ...
La patience
La meilleure excuse entendue pour ne pas porter ses appareils
« Au prix des appareils, je ne veux pas les abimer ! »
L’objet improbable qu’on peut trouver dans mon bureau
Une boite de friandises pour chien
Une journée type dans mon cabinet : jamais sans…
Mon chien !
Blouse or not blouse ?
Blouse, all day, everyday
Ce que je déteste le plus dans mon métier
Le marketing et la communication : aller chercher les patients pour les faire rentrer dans le centre.
Un message à un jeune audio qui se lance dans le métier
Intéresse-toi à ton patient. Pense toujours à ce qui sera le mieux pour lui. Il n'est pas là pour un objet technologique, il est là pour comprendre et être écouté.
La réaction qui m'énerve le plus quand je dis ce que je fais dans la vie
Que l’on me réponde : « Quoi ? Hein ? J’ai pas entendu ! »
Ce que le métier d’audio m’a appris sur moi-même
Me projeter dans le prisme de l'autre. Ça n’est pas inné, et pourtant c’est tellement important, dans ce métier comme dans la vie de tous les jours. Cela permet d’avoir une approche précise et personnalisée sur chaque sujet, ici l’appareillage, mais c’est une qualité que j’ai développée dans ma vie personnelle également.
Le modèle de la première aide auditive que j'ai vendue
De ma carrière : un Oticon Opn 1 ; de mon centre indépendant : un GN ReSound Linx Quattro 9
Ma plus grande fierté professionnelle
L'ouverture de mon centre à Paris. Comme dans les grandes villes, les indépendants s’y font de plus en plus rares, et pouvoir ouvrir un centre en ayant tout pensé et réalisé du début à la fin, c’est une immense fierté, qui est validée chaque jour quand je reçois les patients en cabine.
