Plusieurs figures de l’industrie des aides auditives y ont rappelé les conséquences d'une surdité non appareillée et on plaidé pour une reconnaissance accrue du rôle des technologies, aides auditives et implants cochléaires, dans le maintien de la qualité de vie des populations vieillissantes.
Les échanges ont mis en avant la nécessité de politiques publiques inclusives, de programmes de dépistages auditifs réguliers chez les adultes et d’une collaboration renforcée entre décideurs, professionnels de santé et industriels. L’objectif : sensibiliser les politiques européens aux enjeux de la santé auditive.
Benoît Roy, président du Synea, y participait au nom de l'AEA ; Fabrice Vigneron représentait le pôle audiologie du Snitem.